• Coucou les Xenettes!

     

    En ce moment j'ai un peu du mal à vous écrire sur le nail art. Surement que mon moral un peu flagada n'aide pas trop à blablater futilité. Mais je me peins quand même les ongles et même que j'ai plein de photos à vous montrer! Et ça, j'en ai envie! Alors pour le moment je vais vous faire des articles avec plus de photos et un peu moins de blabla ok ? Et promis, je recommence à vous raconter n'importe quoi dès que ça va un peu mieux =)

     

    Du coup aujourd'hui, je vous montre un nail art sensé être inspiré des feux d'artifices. J'ai utilisé la même technique que pour les galaxy nails mais sur base blanche et avec des couleurs néons!

     

     

     

     

     

     

     

     

    Bizoux à tous et à très vite!

     

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  • Dimanche dernier, PsychoSexy nous proposait un nouveau MAC. D'abord un MAC kézako? Parce que le truc avec une pomme croquée dessus je vois bien, le proxénète aussi. Mais qu'est ce que ça vient foutre sur un blog... je vois moins. C'est alors que la demoiselle vient à notre secours pour tout nous expliquer! Le Mac c'est le Music Addict Challenge! En gros, faire une liste de chansons sur un thème donné!

     

    MAC - Bienvenue dans l'antichambre du suicide

     

    Le thème de ce week end c'était "Qu'on m'apporte une corde!" Ces chansons pour apprentis suicidaires en mal d'encouragements, ces titres qui ont accompagné des générations de fraîchement-largués, ces morceaux qui fileraient la loose à un troupeau de clowns : quelles sont les chansons que tu ne peux pas écouter sans avoir soudain le cafard du siècle ? 

     

     Alors ok c'est parti!

     

    LEVEL 1 - Ces chansons qui me font aller mieux quand je vais mal :

     

     

    Bon déjà faut savoir que moi mes chansons de la loose elles dépendent vraiment de pourquoi j'ai la loose. Coeur de Pirate avec Saint-Laurent, ça me regonfle à mort quand je me sens toute nase sans trop de raisons. Juste le petit coup de blues où tu te dis que tu sais rien faire. Dans ces moments là, la voix toute douce de la miss et la petite mélodie joyeuse, ça me fait un bien fou! (Encore plus si je la chante avec un air déterminé et en mode "c'est moi la chanteuse de la chanson")

     

     

    Alors là on passe un niveau au dessus. Quand c'est la vraie loose, celle qui dure un peu, qui fait que j'ai plus rien envie de faire, la seule chose qui passe dans mes oreilles c'est du bon rock/punk de derrière les fagot. Et dans cette catégorie, Guerilla Poubelle excèle. Et franchement des paroles d'amour comme "On aurait pu s'ouvrir les veines et Paris serait beau" une fois qu'on les a gueulé deux/trois fois, bah y'a pas à dire, ça va déjà un peu mieux!

     

     

    On reste chez Guerilla Poubelle mais on passe un cran dans "l'agressivité" des paroles. Donc on s'enfonce d'un cran dans la loose. En fait en vrai, je pourrais vous mettre une dizaine de chansons de ce groupe. Parce que quand ça va pas, je monte le son, je branche les Guerilla, je gueule, je pleure, je jette, je frappe (dans mon coussin) et après je me sens vachement mieux! Note aussi que ça fait longtemps que j'ai pas fait ça. Maintenant en général, le son et le gueulage ça me suffit ^^

     

     

    Je ne pouvais pas clôre cette catégorie sans vous mettre un petit Tryo. Comme je vous le disais ici, Tryo et moi c'est une grande histoire d'amour. 10 ans que je les écoute et les suis, et leurs voix, leur son c'est un peu comme un grand frère réconfortant, ça me fait du bien.

     

    LEVEL 2 - Ces chansons qui me font aller encore plus mal quand je vais mal :

     

     

    Mesdames et Messieurs, voici le champion toutes catégories confondues du "ma voix est un appel au suicide"! Honnêtement Aaron c'est une groupe que j'adore vraiment. Je les ai vus en concert et j'étais exitée comme une puce à l'idée même que le rideau allait se lever. Simon, le chanteur est juste absolument beaucoup trop beau et très touchant. Mais il faut admettre que même leurs chansons les plus joyeuses elles donnent pas hyper envie de sauter en l'air alors quand ils font des chansons tristes... Bah t'as plus qu'à te tirer une balle

     

     

    Majorette de Bénabar est une de mes chansons préférées de l'artiste. Une très jolie chanson sur la différence, j'adore. On retrouve la plume de Bénabar qui nous emmène dans le monde de ce ramasseur de feuille avec une tendresse maladroite assez désarmante. Mais cette chanson quand je vais pas bien elle me rappelle juste qu'on ne changera rien au chose quoi qu'on fasse. Et là, la musique entrainante elle peux s'accrocher face à "Parce que dans ma tête y'a un truc qui va pas, la patrie et Nadège ils veulent pas de moi", elle fait pas le poids. Et la rage de la fin de la chanson elle me transporte complètement!

     

     

    Comment faire une playlist des chansons qui te t'enfoncent sans parler de ce fabuleux artiste comme il n'y en a plus qu'est Jacques Brel? Il te met la réalité en face comme personne, avec toutes ses tripes, toute son âme et toi tu n'a pas d'autre choix que de rester scotchée face à autant de vérité. Et quand tu va pas bien, c'est pas super simple à gérer...

     

     

    Un autre pur beau gosse à la voix encheterresse. Celui qui accompagne mes moments loose depuis le collège. (Mes moments de rage et ceux de joie aussi). Celui dont j'ai du afficher le poster pour me sentir chez moi dans mon appart. Celui qui est au dessus de mon lit chez mes parents. Kurt <3 Mais voilà, Jesus ne veux pas de moi comme rayon de soleil. Tout est dit dans le titre de la chanson...

     

    LEVEL 3 - Ces chansons qui me font aller mal quand je vais bien

     

    Je préviens avant toute chose, on va parler de mort, notemment de celle de mon grand père qui me manque affreusement. Parce que en gros, s'il y a des chansons qui me font aller mal quand je vais bien c'est surtout (voir uniquement) à cause de ça.

     

     

    Neige de Dionysos est une des rares chansons de cette partie de la liste que j'arrive à écouter. Parce que même si elle me rend triste et mélancolique, elle me fait aussi tenir debout...

     

    Il vit en toi - le roi lion 2

     

     

    Toujours dans mon coeur - Tarzan

     

     

    Youp youp je vais m'arrêter là et repartir écouter les premières musiques sélectionnées pour me refiler la pêche. Parce que les chansons qui me font aller mal quand je vais bien, elles le font pas qu'à moitié.

     

    C'est rigolo quand même cette liste, parce que c'est assez représentatif de moi et de mon univers. Un monde disney où peuvent se cotoyer sans soucis Jacques Brel, Coeur de Pirate, Guerilla Poubelle et Nirvana. En vous écrivant ça, je me sens carrément à nue ça fait tout bizarre!

     

    Au fait, y'a autre chose qui me file la patate quand je vais pas bien. Enfin, plutôt quelqu'un. Ce quelqu'un c'est mon chéri et depuis peu il a ouvert lui aussi un blog. Alors si vous aimez lire et vous évader quelques instant je vous conseille vivement d'aller y faire un tour!

     

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  • La vidéo c'est Percujam, un groupe atypique que je vous invite à découvrir par vous même

     

    Aujourd'hui c'est la journée mondiale de la sensibilisation à l'autisme et c'est la couleur bleue que l'on est invité à porter aujourd'hui pour soutenir cette cause. Cette cause... laquelle? L'autisme est il une cause en soi? Non évidemment, mais sensibiliser les gens à ce handicap, oui. Car trop souvent l'isolement de ces enfants et de ces adultes est renforcé par la peur que les autres peuvent avoir d'eux.

     

    J'ai en tête des moments pas toujours agréables qui me font dire que malgré tous les débats stériles qui risquent d'être soulevés aujourd'hui, le fait que l'on parle de l'autisme ne peut pas faire de mal. Je me souviens d'une dame me demandant dans un magasin "comment vous osez les sortir?", je me souviens aussi d'une maman qui répond juste à son fils " chuuuut" et qui accélère le pas lorsque celui-ci lui demande "qu'est-ce qu'elle a la dame?", je me souviens également d'une autre maman qui fait comme si elle n'avait pas entendu quand sa fille est venue me demander "pourquoi elle est moche ta fille?". Ce qui est flagrant dans ces exemples c'est que ce n'est pas l'autisme en soi qui dérange parce que l'autisme ne se voit pas toujours. Mais la différence, elle, gêne et exclue. Pourtant nier la différence de certaines personnes (en ne répondant pas ou en demandant ouvertement à ce que ces personnes soient cachées) n'est-ce pas agrandir cette différence?

     

    On porte du bleu pour la bonne cause

     

    J'ai tellement de choses à dire, à raconter... Je ne sais pas trop par où commencer. Peut être déjà par vous exliquer que des personnes autistes j'en cotoie tous les jours, c'est mon travail. Alors, une manucure pour sensibiliser les gens oui, mais ça ne suffit évidemment pas.

     

    Qu'est ce que c'est que l'autisme? S'il y a bien une chose à comprendre et à savoir c'est que l'autisme n'est pas une maladie. C'est un handicap. Et même si on ignore tout des causes de ce handicap, cela n'en reste pas moins quelque chose qui ne se guérit pas. (Wouahou niveau message d'espoir, elle envoie cette phrase non?) Donc non j'insiste, l'autisme ne se guérit pas. On apprend à vivre avec, on s'habitue, mais on ne devient pas ancien autiste. Le second point très important à mon sens, c'est qu'il est impossible de donner une définition exacte de l'autisme car il y autant d'autismes que de personnes autistes. C'est pourquoi ce handicap est très difficile à diagnostiquer car les signes varient énormément d'une personne à l'autre. Alors, oui on retrouve quelques caractéristiques mais elles sont minimes. Je dirais que le point commun entre toutes les personnes autistes c'est qu'ils vivent dans leur monde plutôt que dans le nôtre.

     

    On porte du bleu pour la bonne cause

     

    Lorsque j'ai commencé ma formation d'éducatrice, le handicap me faisait extrêmement peur. Pas l'autisme, non le handicap en général. Parce que ça me dépassait complètement. Ceci dit, dans la grande famille du handicap, il y a avait quand même une branche qui m'attirait, me fascinait presque, celle que je vais apeller de la maladie mentale. (Petite parenthèse juste pour préciser que je parle là de mon état d'esprit à l'époque. Je sais très bien aujourd'hui que l'autisme n'est pas une maladie mentale. Un autiste n'a pas sa place en hôpital psychiatrique, par exemple. Mais ça, je vais en reparler un peu plus tard). Pour exorciser ma peur, et me confronter à cette population, j'ai fait mon premier stage en hôpital de jour. Un hôpital de jour est un lieu où infirmiers, éducateurs, médecins, psychomotriciens et instituteurs spécialisés accueillent des enfants dont les troubles psychiques les empêchent de suivre une scolarité classique. C'est là que j'ai rencontré professionnellement pour la première fois des enfants autistes. Au début, ça fait tout drôle, on ne comprends pas. Oui, je ne comprenais pas qu'un enfant se cogne contre un mur en demandant au mur d'arrêter. Je ne comprenais pas non plus, qu'on puisse tourner autour d'une table en parlant de cochon d'inde. Ou alors je ne comprenais pas qu'un enfant qui parle à priori de façon normale, qui écoute et comprends ce qu'on lui demande, puisse être empli de vide.

     

    On porte du bleu pour la bonne cause

     

    Puis un jour, j'ai compris. J'ai compris, que je devais arrêter de vouloir comprendre et aller à leur rencontre. Ils ne viendront pas dans mon monde, à moi d'aller les rencontrer dans le leur. Il n'y a pas de recettes pour ça, pas de solution miracle. Quand on me demande comment je compte m'y prendre pour entrer en relation avec ces enfants si particuliers je réponds honnêtement que je ne sais pas. Parce que chacun est différent. Je n'ai jamais forcé aucun enfant (ni adulte par la suite) à entrer en relation avec moi, je me suis rendue disponible et à l'écoute. Sans préjugé, sans vouloir imposer quoi que ce soit. Je ne me suis jamais non plus interdit d'essayer, ne pas partir du principe que, et découvrir des personnes et non un ensemble de symptômes à traiter. J'ai passé des heures à faire des listes de pokémons, à lire les mêmes histoires pour qu'un jour on puisse jouer ensemble avec ces pokémons, pour qu'un jour ce soit eux qui me racontent les histoires. Et ça a marché. Il ne faut pas attendre de résultat, il ne faut pas se fixer des objectifs insensés (voire il ne faut pas se fixer d'objectifs tout court, mais c'est un autre sujet). Il faut juste être et un jour, ce petit garçon qui ne supporte pas qu'on le touche, viendra vous prendre la main pour se promener. Il faut juste être et le jour où vous leur dîtes au revoir, cette figurine qu'il ne lâchait absolument jamais sous peine de crise incontrolable, il vous la donne, en cadeau, en souvenir. Il faut juste être et un jour, cette enfant qui voit les gens comme des objets et ne les reconnaît pas, vous dit bonjour Manon.

     

    On porte du bleu pour la bonne cause

     

    Une fois mon stage dans cet hôpital de jour terminé, j'ai ensuite eu une expérience en foyer auprès d'adultes autistes cette fois. C'est à nouveau plein de questionnements, qu'est ce que je peux leur apporter, est ce que je peux encore les faire évoluer, à quoi je vais servir, comment traiter comme des adultes des personnes qui agissent comme des enfants? Encore une fois, j'ai décidé de laisser mes questions de côté et encore une fois de rencontrer les personnes plutôt que de m'arrêter à leurs symptômes. A ce foyer j'ai fait des rencontres absolument magnifiques, des rencontres qui me font me dire, que c'est là-bas que je voudrais travailler, que c'est comme une évidence qui malheureusement n'est pas forcément possible. Je peux vous dire encore que j'ai passé des heures à jouer aux legos, assise par terre ou à une table pour qu'à un moment, il me tende une petite brique et qu'on joue ensemble plutôt qu'il fasse inlassablement des tas tout seul. J'ai appris à écouter chacun d'entre eux, même ceux qui ne parlent pas (surtout ceux-là?). J'ai appris aussi à ne pas être déçue quand lorsque je devais m'absenter pour plusieurs semaines pour mes cours, à mon retour certains ne me reconnaissaient pas. Je n'ai pas été déçue, j'ai simplement recommencé. A quoi rime tout cela? Qu'est-ce que ça leur apporte? Entrer dans leur monde, même un tout petit peu, c'est petit à petit casser l'isolement et introduire de la relation et de l'autre dans un monde pensé pour une seule personne. Ne pas se fixer d'objectif et être avec la personne c'est accepter aussi que les progrès ne sont pas toujours mesurables ni évaluables. Seulement un jour, après plusieurs mois d'absence, cette personne vous reconnait au son de votre voix, vous faîtes partie de son monde, et ce jour là vous avez gagné. Non pas contre le handicap, c'est impossible mais contre l'isolement et petit à petit, brique de légo par brique de légo les choses peuvent bouger. Une personne autiste ne sera jamais totalement dans le même monde que nous, mais en les accompagnant, doucement, à leur rythme, on peut rendre ces personnes moins seules, moins exclues et surtout leur rendre le monde moins invivable.

     

    On porte du bleu pour la bonne cause

     

    En me lisant, tout cela paraît peut être simple mais non. J'ai pris des coups, j'ai du demander de l'aide parce que je n'y arrivais pas. J'ai du ravaler ma frustration et mon envie de bien faire pour me mettre à leur rythme. Et moi, c'est mon métier. Je n'ai pas d'enfant autiste, je n'ai pas le handicap et la différence à gérer au quotidien. J'ai mes convictions, ma façon de faire, qui jusqu'à présent a toujours marché (si l'on accepte le fait que l'on ne fera rien faire à la personne en face tant quelle n'y est pas prête). Malheureusement, en France les structures sont beaucoup beaucoup trop rares pour ce genre de handicap. S'occuper de personnes autistes c'est un vrai métier et tout le monde ne peut pas le faire. Aider les familles à comprendre, accepter et vivre avec le handicap de leur enfant (même lorsque celui-ci est devenu un adulte) c'est une tâche complexe. Sensibiliser à la cause de l'autisme, c'est aussi et surtout permettre à ces personnes d'être prises en charge correctement, dans le respect de leur personnalité et de leur intégrité. Le combat, pour que l'autisme soit beaucoup plus reconnu et de fait plus soutenu et plus aidé en France ne fait que commencer. Et il commence chez chacun d'entre nous.

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  • Coucou les Xenettes!

     

    Aujourd'hui on est dimanche et comme certains dimanches c'est

     

     

    Les cloches sont passées!

     

    organisée par Odile, Andreia et Didoline! Je dis comme certains dimanches parce que en ce moment ça change tout le temps alors je ne m'avancerais pas sur le rythme de ce rendez vous dominical! En toute logique, le thème d'aujourd'hui c'est Pâques! Et nous avons une petite contrainte : faire apparaitre des oeufs! Petite contrainte  parce que Pâques sans les oeufs, c'est pas vraiment Pâques si ?

     

    Les cloches sont passées!

     

    Pour ma manucure c'est simple, les oeufs ce sont mes ongles! Je serai bien partie sur une base jaune pastel mais je n'ai pas ça en stock alors j'ai fait avec ce que j'avais! C'est donc le Volt Musk de chez Gemey qui me sert de base pour mes oeufs. Ce vernis il est très vieux mais encore tout à fait exploitable! Par contre ce qui me fait rire c'est le "séchage express" qui ne l'ai absolument pas! Mais surement qu'au moment où il est sorti, il séchait vraiment deux fois plus vite que les autres vernis du marché? Ensuite pour la déco vous avez par ordre d'apparition, du bord libre vers la lunule : Sky Blue de Kiko, Aqua Glitter de Barry M, Leading Lady de Essie, de nouveau Aqua Glitter et enfin Peacock Green de Kiko!

     

    Les cloches sont passées!

     

    Moi qui me disait que je ne pourrais jamais me faire d'ongles aztecs parce que je ne suis pas assez précise, finalement on en est pas si loin! J'ai pris la pointe d'un pinceau biseauté pour faire mes motifs puis j'ai laissé parler mon imagination. Dans ma tête c'était un peu "comment je ferais un coloriage oeuf de Pâques?" et voilà le résultat!

     

    Les cloches sont passées!

     

    J'aime bien le résultat parce qu'il correspond à ce que j'avais dans la tête! Et puis ça donne des idées, vu que cette après-midi (non on est pas déjà cet après-midi! A partir du moment où je suis dans mon lit, en pyjama et que je n'ai pas mangé on est ce matin!) on va sûrement faire une séance de peinture sur oeuf avec Chéri!

     

    Les cloches sont passées!

     

    Et je tiens quand même à remercier ma cloche-maman (hum... je ne sais absolument pas comment tourner cette phrase pour que cloche et maman mis ensemble ne soit pas vexant... On va dire que dans l'esprit de Pâques cloche n'est pas une insulte!) parce que cette année je n'ai pas fait de chasse aux oeufs pour cause de week end Lillois (et d'horrible mal de dos) mais j'ai quand même eu des chocolats!

     

    Les cloches sont passées!

     

    Je voudrais clôre cette SNB pasquale en souhaitant à vous toutes et tous qui passez sur mon blog un excellent week end de Pâques plein de chocolat et avec aucune indigestion! (Je le souhaite aussi à tous les autres mais comme ils ne le sauront jamais...)

     

    Bizoux tous chocolatés!

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  • Coucou les Xenettes!

     

    Avant de commencer cet article à proprement parlé je voulais ouvrir une petite parenthèse par rapport au rythme du blog. J'ai repris le travail à plein temps et ça devient impossible de poster tous les jours. Pourtant j'ai plein de photos qui n'attendent que vous mais voilà, écrire un article ça prends du temps. J'en avais déja parlé, et je pense que je vais limiter les publications à 3 ou 4 articles par semaines. Affaire à suivre!

     

     

    Aujourd'hui je voudrais partagé avec vous (en nail art toujours) ma soirée de jeudi! Jeudi 28 mars j'étais donc à Bercy pour le concert de Tryo! Tryo et moi c'est une grande histoire d'amour! Je les ai découvert quand j'étais en 4eme il y a donc 10ans et j'assiste à toutes leurs tournées. Ce qui donne en moyenne un concert par an et j'adore <3

     

    Apporte moi mes cachets, serre bien ma camisole accélère encore le son de ta voix...

     

    Encore une fois, je n'ai pas été déçue du tout. Des décors ouffissimes (allez venez, on va chanter ensemble sur les toits de paris!), une petite scène mobile qui se balade entre les gens, des invités de dingue (genre Alain Souchon quoi!) et un groupe toujours au top et avec un vrai échange avec le public! Personnellement, c'est les seuls artistes que je connais qui font des concert de trois heures et demies plus première partie, c'est toujours un moment magique. A peine les premières notes retentissantes, Tryo nous embarque sur leur île magique!

     

    Apporte moi mes cachets, serre bien ma camisole accélère encore le son de ta voix...

     

    Ils ouvrent le bal avec Yakamoneye sur leur scène flottante. Un piano, deux guitare, percu et voix. L'univers Tryo est présent à 4000 %, commencer par une ancienne chanson, un retour aux sources, un appel au souvenir. J'adore. Puis la magie de Tryo c'est aussi que même lorsque tu connais toutes les chansons par coeur, ils arrivent à te surprendre avec leurs arrangements. Ils ont ensuite enchainé avec une autre chanson de leurs début, et pas des moindres, Un homme qui aime les femmes. Ils ont ensuite rejoint la scène sur Pas banal. En trois chansons ils ont déja réussi à combler tous les fans! Autant ceux des débuts que les nouveaux.

     

    Apporte moi mes cachets, serre bien ma camisole accélère encore le son de ta voix...

     

    Une fois sur la scène, Tryo nous fait découvrir un décor évolutif entrecoupé de scènes en ombres chinoises avec une danseuse géniale, bref c'est magnifique. Si je n'ai plus la playlist complète en tête je peux vous dire que le groupe nous transporte d'une émotion à l'autre avec le rire grâce à Désolé pour hier soir et son superbe appel à Marie-Pierre, les larmes (pour ma part en tout cas) avec Les anciens, le plaisir régressif avec Tout le monde veut devenir un cat, le bonheur nostalgique procuré par Serre-moi, de l'émotion aussi avec Ladilafé... Ils ont fini par un medley Mamagubida absolument génial qui nous replonge avec bonheur dans leur premier album. Je trouve ça assez fin de leur part car, d'après moi, Ladilafé c'est vraiment un album de Tryo comme je les aime. Un album où dès les premieres notes tu te dis "Hey c'est du Tryo", sensation que je n'avais pas trouvée sur Ce que l'on sème. Mais je répète cela n'engage que moi! Et puis la force de Tryo c'est aussi d'être capable de rendre Bercy presque intime puis d'une minute à l'autre transformer la salle en boîte de nuit.

     

    Apporte moi mes cachets, serre bien ma camisole accélère encore le son de ta voix...

     

    Le concert s'achève par la diffusion du clip Nous génération sur grand écran, et ce clip c'est juste du délire en image. J'ai rigolé du début à la fin. Je ne l'ai pas trouvé sur Youtube, il n'est surement pas encore sorti mais j'espère pouvoir vous le partager bientôt. En tout cas, un énorme merci au groupe Tryo qui me fait vivre des moments absolument magiques depuis 10 ans maintenant. Ca fait deux jours que le concert est passé et j'ai encore les images qui tournent dans la tête, je voudrais ne jamais avoir quitter cette salle!

     

    J'espère que cet article un peu à part vous plaira et vous donnera envie de (re)découvrir ce groupe absolument génial! On se donne RDV demain pour une SNB pleine de chocolat! Bon samedi les Xenettes!

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